massive d’avions à hydrogène en Europe et dans le monde.
Par ailleurs, le collectif de chercheurs ATECOPOL avance que cet hydrogène « vert » nécessiterait 16 réacteurs nucléaires pour permettre l’électrolyse nécessaire au décollage et à l’atterrissage de l’ensemble des avions de l’aéroport Charles de Gaulle ([3]). En raison de l’urgente nécessité de ne plus vivre à crédit sur les ressources de la Terre et de préserver celle-ci, ainsi que nos espaces de vie, l’ensemble de ces constats amènent à s’interroger sur la pertinence de maintenir à tout prix et à toute force les densité et flux actuels du trafic aérien.
Ainsi, il apparaît nécessaire d’organiser la planification de la décroissance indispensable des flux actuels en fonction des besoins et en concertation avec les salariés qui ne doivent pas supporter le prix de la nécessaire bifurcation écologique.
Au terme de son analyse, votre Rapporteure émet donc un avis défavorable à l’...
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