cosignée par Thibault Bazin, Valérie Bazin-Malgras, Jean-Yves Bony, Jean-Claude Bouchet, Bernard Brochand, Olivier Dassault, Éric Diard, Jean-Pierre Door, Marianne Dubois, Laurent Furst, Annie Genevard, Claude Goasguen, Philippe Gosselin, Meyer Habib, Patrick Hetzel, Yves Jégo, Valérie Lacroute, Sébastien Leclerc, Véronique Louwagie, Jean-Louis Masson, Éric Pauget, Guillaume Peltier, Bernard Perrut, Bérengère Poletti, Alain Ramadier, Robin Reda, Jean-Luc Reitzer, Martial Saddier, Raphaël Schellenberger, Éric Straumann, Guy Teissier, Laurence Trastour-Isnart, Isabelle Valentin, Patrice Verchère & Michel Vialay
Mesdames, Messieurs, Alors que notre pays mène une guerre contre le totalitarisme islamique, le groupe de la brigade criminelle spécialisé dans la traque du financement du terrorisme a relevé que 20 % des combattants djihadistes français identifiés en Syrie continuaient à percevoir des allocations sociales.
Au moment où l'organisation « État » islamique perd du terrain, cette étude révèle que ces allocations servaient à alimenter le fonctionnement de ce groupe terroriste dans les zones de combats.
Selon certaines sources, cette escroquerie était organisée en France : « Munis de leurs cartes avec photos, des parents percevaient les fonds venant de Pôle emploi ou de la caisse d'allocation familiale avant de les envoyer par mandat en direction des zones de combats via la Turquie notamment », explique un enquêteur.
Au total, ce sont 420 virements frauduleux qui ont été mis au jour en 2016 et le trafic concernerait plus de 2 millions d'euros.
Rien qu'en 2012 et 2017,...
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