cosignée par Edith Audibert, Valérie Bazin-Malgras, Valérie Beauvais, Émilie Bonnivard, Jean-Yves Bony, Bernard Bouley, Jacques Cattin, Gérard Cherpion, Éric Ciotti, Vincent Descoeur, Fabien Di Filippo, Jean-Pierre Door, Virginie Duby-Muller, Michel Herbillon, Brigitte Kuster, David Lorion, Véronique Louwagie, Gérard Menuel, Maxime Minot, Éric Pauget, Bernard Perrut, Robin Reda, Jean-Luc Reitzer, Bernard Reynès, Robert Therry, Laurence Trastour-Isnart, Pierre Vatin & Michel Vialay
Mesdames, Messieurs, La présente proposition de loi trouve son origine dans deux constats liés à la crise sanitaire et à ses conséquences économiques et sociales.
Tout d’abord, la pandémie a considérablement amplifié le besoin de solidarités familiales notamment envers ceux qui ont subi une activité amoindrie ou même perdu leur emploi, mais aussi envers les jeunes pour lesquels l’accès aux formations, aux emplois étudiants et à la vie active s’est avéré bien plus compliqué. Le taux de chômage des jeunes a ainsi augmenté et de nombreux étudiants ont connu des difficultés pour faire face aux dépenses du quotidien.
La crise sanitaire a également eu pour conséquence d’augmenter le patrimoine moyen des ménages.
La Banque de France estime en effet que, même si les situations sont contrastées, les Français ont épargné plus de 267 milliards d’euros depuis le premier trimestre 2020, ce qui représenterait environ 157 milliards de plus que les 111 m...
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