Les amendements de Grégory Besson-Moreau pour ce dossier

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Moi aussi, j'ai vu les vidéos dont vous avez parlé. Moi aussi, elles me dérangent. Mais quand on les regarde un peu plus en détail, on s'aperçoit que les problèmes ont l'air de se poser depuis bien plus d'un mois. Il suffit de voir l'état des endroits filmés. Dès lors, monsieur Falorni, si l'on ne peut pas visionner les vidéos vieilles de plus ...

… et la formation des employés des abattoirs, et sanctionner lourdement les tricheurs. Le texte que nous examinons est un texte de confiance. Ne dévions pas, chers collègues. Je suis d'accord avec M. Dombreval.

Je voudrais dire aux auteurs des amendements que la commission d'enquête chargée de tirer les enseignements de l'affaire Lactalis va rendre un rapport, lequel ne portera pas uniquement sur le lait infantile, mais fera des propositions intéressant l'ensemble du secteur agroalimentaire, notamment en ce qui concerne les procédures de retrait ou de...

Vos arguments, monsieur le ministre, m'ont convaincu. Je pense qu'il faut avoir une vision globale et que nous devons avoir confiance dans le CSA. Ce texte va dans le bon sens. N'allons pas trop loin !

Je n'arrive pas à comprendre certains de nos collègues : pourquoi chercher à imposer un style de vie à l'ensemble de nos concitoyens et, plus spécialement, à nos enfants ?

Nous devons laisser les gestionnaires libres de leurs choix. Plutôt que de nous faire des noeuds au cerveau et de chercher à supprimer la viande, travaillons sur sa qualité. Nous devons aller dans la bonne direction, mes chers collègues, sans aller trop loin.

Monsieur Ruffin, vous parlez de pari mais, permettez-moi de vous le rappeler, le résultat des états généraux de l'alimentation n'est pas un pari que l'on doit faire sur nos agriculteurs. Nous devons les aider. Ils sont accablés et ce n'est pas en expliquant que l'on a étourdi un animal, que la viande est halal, alors même que nous n'avons pas s...

Les gens se détourneront du produit. Nous ferions mieux d'éduquer nos enfants, nos concitoyens, plutôt que de les effrayer avec des mots. Cet amendement n'est pas du tout le fruit des états généraux de l'alimentation. Il va dans le sens inverse de l'aide que l'on doit accorder à nos agriculteurs et à nos producteurs.

Chère collègue Rossi, j'entends vos arguments, mais ce qui m'inquiète, c'est que l'on essaie de faire adopter un amendement dont on ne maîtrise pas les effets. On dit qu'on verra bien, qu'on pourra employer des barquettes en bois, en porcelaine, en inox. Il y a quinze ou vingt ans, on réchauffait les aliments dans des fours traditionnels ; aujo...

Quel en sera l'impact ? N'adoptons pas des amendements dont nous ne maîtrisons pas les effets. L'industrie plastique travaille, elle produit des plastiques de qualité, que l'Europe valide.

Monsieur le ministre, nous avons déjà évoqué cette question à propos de la filière bioéthanol. Sur ce point, nous avons uniquement besoin de pragmatisme. Nous avons eu besoin d'un signal fort pour faire basculer la production de moteurs diesel vers la production de moteurs à essence : cela a été accepté, validé par les industriels. Aujourd'hui...

Je ne comprends pas : l'essence, on leur met la tête sous l'eau, le diesel, on leur met la tête sous l'eau, et nous ouvrons nos frontières à de l'huile de palme qui participe à la déforestation !

J'ai posé une question à ce sujet à Mme la secrétaire d'État auprès du ministre de l'écologie, Brune Poirson : la réponse qui m'a été apportée n'était pas du tout convaincante. Monsieur le ministre, il faut que vous transmettiez ce message à M. le ministre de l'écologie, pour qu'il rouvre le dossier du bioéthanol. C'est un carburant 100 % natur...

Je l'ai fait pour la simple et bonne raison qu'il faut regarder la mécanique globale du texte et non un seul article. Pour revenir sur les propos du ministre et du rapporteur, je tiens à rappeler que ce texte encadre les promotions en volume, mais également en prix. À cela va s'ajouter le seuil de revente à perte affecté d'un coefficient de 10 ...

Je vois que Michel-Édouard Leclerc a su trouver d'excellents avocats dans cet hémicycle, et que M. Le Fur s'est inscrit au barreau. Je voudrais seulement rappeler un exemple. Aujourd'hui, il faut dix-huit smartphones pour acheter une tonne de Nutella ; dans cette tonne, il y a 70 % de sucre. Pourtant, il faut trois tonnes de sucre pour s'achet...

Comme nombre de mes collègues sur ces bancs, j'estime que le texte de l'article 9 devrait être plus précis sur le contenu de l'ordonnance, afin de s'assurer que l'équilibre des EGA sera respecté. En particulier, il est important que l'encadrement en valeur et en volume des opérations promotionnelles soit financé par le distributeur etou le four...

Pendant quarante ans, le nombre de centrales d'achat a diminué pour laisser place à des groupements de centrales plus puissants. Aujourd'hui, elles ne sont plus que quatre. Pendant ce temps, notre agriculture est passée de la première à la cinquième place en Europe. J'attends vos arguments, monsieur le rapporteur, monsieur le ministre, afin de ...

Je retire mon amendement et me range derrière l'amendement no 64. Je suis d'accord avec les arguments énoncés par le rapporteur, qui vont dans le sens des ordonnances, que je plébiscite.

Je retire mon amendement no 703. En effet, après avoir lu l'amendement du rapporteur, je considère – même si, pour certains, il ne s'agirait que d'un faible progrès – qu'il nous ferait accomplir un grand pas en faveur de la protection de nos agriculteurs et de la maîtrise de la dérive de la grande distribution – même avec les manipulations qu'e...

Comme l'a dit mon collègue, en la matière, des pratiques particulières sont courantes dans certaines professions – la viticulture en fait partie. Si deux familles professionnelles se mettent d'accord sur un décalage de paiement, je ne vois pas pourquoi on les en empêcherait. Je défends donc cet amendement, en attendant les arguments de M. le r...