Les amendements de Grégory Besson-Moreau pour ce dossier

50 interventions trouvées.

Je le retire pour une excellente raison : mon amendement no 706, accepté par le rapporteur et le Gouvernement, qui prévoit l'automaticité de l'évolution des prix payés aux agriculteurs dans le même sens que l'évolution des indicateurs de coûts, a été adopté à l'article 1er.

Dans le cadre complexe du secteur viticole, les contrats doivent s'adapter à l'offre et à la demande. J'attends les arguments du ministre et du rapporteur à ce sujet.

Je serai bref : cet amendement va dans le même sens que les amendements précédents. Il est défendu.

Monsieur le ministre, je voudrais insister à nouveau sur mon amendement, qui protège certains producteurs du chant des sirènes venant la grande distribution et de certains acheteurs qui leur offrent un bon prix la première année, puis les descendent en flèche les années suivantes. Nous sommes tous plus forts lorsque nous sommes réunis en OP, lo...

La volonté du Président de la République, exprimée à la fin du mois de février à la nouvelle génération agricole, est de donner un avenir à l'agriculture française, et cette volonté ne doit pas faiblir. Notre agriculture fait partie de notre patrimoine, de nos paysages, de notre identité profonde, de ce à quoi nous sommes attachés. On aime choi...

Les indicateurs utilisés dans les contrats doivent être neutres et indiscutables. Pour cela, il est essentiel qu'ils proviennent des organisations interprofessionnelles, lieu d'échange et de consensus entre les différents maillons des filières. C'est pourquoi la loi doit être ferme à cet égard, et indiquer que les interprofessions diffusent aux...

Mes chers collègues, je ne vous comprends pas. Six mois se sont écoulés depuis l'ouverture, le 20 juillet 2017, des États généraux de l'alimentation et le dépôt d'un projet de loi, le 31 janvier 2018. Durant ce laps de temps, représentants des pouvoirs publics et du secteur privé, acteurs et partenaires du monde agricole, consommateurs ont part...

Après l'examen pour avis par la commission du développement durable, à la fin mars, le projet de loi issu des États généraux de l'alimentation affiche clairement son ambition : mieux protéger le revenu des agriculteurs, responsabiliser les interprofessions et moderniser notre agriculture au niveau tant des modes de production que de la qualité ...

C'est pourquoi le groupe La République en marche est défavorable à la motion de renvoi. Sur le temps programmé, monsieur Viala, il y a quelque chose que je ne comprends pas. N'est-ce pas Christian Jacob, président de votre groupe, qui a demandé que la durée de la discussion soit limitée à cinquante heures ?

Quant à vous, monsieur Ruffin, je vous remercie de mettre tous les députés de La République en marche dans la même case, ou plutôt le même clapier. Il est vrai que vous êtes un grand spécialiste du monde agricole !