L'un est plus ambitieux que l'autre. Il propose d'intégrer dans les SPASER les enjeux de réduction de l'empreinte carbone du numérique public et d'encourager une meilleure prise en compte de l'éco-conception des produits numériques dans les marchés publics. Il retranscrit, à l'échelon des territoires, l'ambition de la mesure no 20 de la circulaire de du 25 février 2020 portant engagements de l'État pour des services publics écoresponsables.