Monsieur le ministre, vous avez dit que l'article concernerait trois liaisons : Paris-Nantes, Paris-Bordeaux et Paris-Lyon, et qu'il ne s'appliquerait pas aux trajets en correspondance vers l'outre-mer. J'aimerais savoir si vous avez calculé combien de tonnes de carbone seront potentiellement économisées par la suppression de ces trois destinations, sachant que, si les gens ne prennent pas l'avion, ils prennent le TGV ou le TER, voire la voiture s'ils doivent se rendre rapidement à un rendez-vous. J'aimerais donc savoir si vous avez calculé l'économie que l'on pourrait faire sur ces trois villes depuis Paris, compte tenu du décalage entre l'avion et le train. Avez-vous une réponse précise à cette question ?