La question consiste à déterminer ce qu'il est possible de faire, ou de ne pas faire, face à un adolescent ou une adolescente dont le ressenti est en désaccord avec sa réalité corporelle, sexuée. Ses parents, sa famille peuvent-ils l'accompagner face à ce trouble, cette dysphorie de genre, et l'aider à y travailler ? On sait que le temps de l'adolescence est un temps de questionnement ; nous l'avons tous connu.