Comme l'ont dit mes collègues au cours de la discussion générale et en présentant la motion de rejet préalable, cette demande est exorbitante. On ne peut pas prolonger perpétuellement cet état d'urgence. Cela témoigne d'un mépris du Parlement, alors que nous sommes présents et que nous avons la capacité de siéger.
Je constate que M. le ministre Olivier Véran nous dit qu'il respecte le Parlement, mais qu'il est absent !