Je vous invite donc à mettre à profit le temps restant avant l'adoption définitive du texte pour y réfléchir, ce d'autant que les archives françaises permettent de dresser la liste précises des personnes concernées. Dans le cas contraire, de nombreuses personnes qui ont énormément souffert seraient laissées sur le bord de la route, et nous n'aurions que partiellement assumé notre rôle.