Je rappelle qu'il n'y a pas que l'acte de l'avortement : il y a aussi ses conséquences, notamment psychologiques. Elles existent et il faut les mentionner afin que le rapport sur l'application du délit d'entrave aborde cet aspect, comme je le propose par le sous-amendement n° 517 .
Quant au sous-amendement n° 515 , il vise à préciser que l'information fournie par le rapport doit être non seulement complète, mais également transparente. C'est nécessaire, car le délit d'entrave fait parfois l'objet d'informations partisanes.