Ces propos s'attaquent également à la liberté représentée par le consentement éclairé du patient : si on lui impose une procédure, il faut que celle-ci soit proportionnée et utile ; c'est de cela que nous devons discuter. C'est une question de liberté, et nous sommes pour la liberté.
Enfin, ces propos disproportionnés s'attaquent à l'égalité : « Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n'est plus un citoyen ».