…il suffit de les compter. Les adjectifs employés sont pathétiques, adolescents. Notre devoir est de dire que, bien sûr, nous nous nourrissons des situations que nous rencontrons, mais qu'ici, nous objectivons les choses car le droit n'a pas d'émotions ni d'affections : il dit les choses.
Je suis désolé de devoir dire cela au garde des sceaux car c'est lui qui devrait me faire la leçon, mais quand je l'entends me dire « Oh là là ! Vous vous rendez compte de ce que j'entends ! Ça me fait pleurer ! », et ainsi de suite, et quand j'entends des ministres qui viennent dans l'hémicycle parler d'émotion, je suis inquiet.