Il y a des gens qui restent sur le bord de la route et ceux-là, il faut les accompagner. Il ne s'agit pas de revenir sur cette évolution, mais par pitié, prenons soin de celles et ceux, pas toujours de milieux défavorisés, qui sont laissés au bord du chemin par cette marche quelque peu forcée vers la numérisation, qui oublie parfois que les citoyens peuvent avoir besoin d'aide.