Enfin, si nous sommes le premier bailleur bilatéral des Comores, il est temps d'évaluer l'utilisation de cette aide, afin de savoir s'il est possible de l'augmenter et pour quels types d'investissements d'avenir. Je rappelle que notre aide au développement représente quelque 10 millions d'euros par an, alors que le coût de l'immigration clandestine est évalué à quelque 300 millions d'euros par an, pour la seule prise en charge par l'État de l'éducation et de la santé.