Si M. Mélenchon, président de votre groupe, demande une suspension de séance, elle sera accordée ; mais je ne puis vous laisser dire que l'opposition, en particulier votre groupe, est maltraitée. Bien que tous vos amendements aient été appelés de la façon la plus claire et distincte qui soit, à plusieurs reprises, vous n'avez pas réagi. Je vous ai alors redonné la parole après coup, comme à M. Larive pour défendre l'amendement no 112 . Vous ne pouvez donc pas dire, je le répète, que l'opposition, en particulier votre groupe, a été maltraitée au cours de ce débat : ça suffit ! On ne peut pas dire n'importe quoi sur le déroulement de nos débats.