Nous n'avons pas plus de précisions sur les infrastructures ni sur leur financement – sur le tunnel Lyon-Turin, sur la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, sur la rénovation de la gare saint-Charles chère aux Marseillais. On ne sait pas comment ces investissements lourds seront financés demain.
De même, nous n'avons pas de vision claire sur la dette puisque une partie de la reprise, à hauteur de 10 milliards d'euros, est repoussée après la prochaine élection présidentielle.