Il prévoit de maintenir la possibilité pour le requérant de s'opposer à une audience en vidéoconférence. Je suis désolée d'insister à nouveau, et pour la dernière fois, mais je ne suis pas la seule à vous demander de revenir sur ce point, en particulier quand ont été commis des violences ou des sévices sexuels. La communication audiovisuelle pourrait, dans ce cas, inhiber les requérants concernés.