Monsieur le ministre, vous m'avez dit hier tout ce que le contribuable que je suis pourrait commettre s'il recevait un mauvais conseil, mais vous illustrez aujourd'hui ce que vous dénoncez : rien qu'en vous écoutant, j'ai compris tout ce que je pouvais faire pour échapper au fisc, toutes les possibilités m'en ont été ouvertes par vos soins. Le conseil n'existe pas : seul existe l'utilisation qu'on en fait, éventuellement fautive. Ainsi, vous m'avez donné de bons ou de mauvais conseils, libre à moi de les suivre – ce que je ne ferai pas – ,...