Vous essayez de créer dans cette enceinte même un climat de suspicion généralisée, un clivage entre ceux qui détiendraient la vérité supérieure de la protection et ceux qui seraient avachis sur leurs bancs et n'auraient pas le sens des responsabilités. Vous allez jusqu'à mettre en cause des professions entières – je ne sais pas si vous vous rendez bien compte de ce que vous dites. Comme si, par exemple dans l'éducation nationale, il n'existait pas aujourd'hui tout un tas de protocoles, de processus !