J'ajouterai, monsieur le ministre d'État, en mon nom propre et au nom de mon groupe, qu'au-delà des divergences de vues et de vote, nous souhaitons sincèrement que vos choix soient utiles à la sauvegarde de l'intégrité physique et morale des Français. Nous prenons date avec responsabilité de l'échéance d'évaluation de cette loi, fixée à 2020.