Je vous entends répéter à regret que le Parlement n'ait pas été associé aux discussions, que nous soyons consultés tardivement et que nous devions voter alors que ce texte est en vigueur depuis deux ans. Notre porte-parole, Sylvain Waserman, l'a souligné tout à l'heure : il est essentiel que cet accord préfigure ceux que l'Union européenne signera à l'avenir avec d'autres États. Nous disons cette chose simple : rejeter ce texte n'augmentera pas nos chances de faire avancer nos demandes au niveau européen, au contraire.