Monsieur le ministre, vous avez prononcé le mot-clé, repris par M. Vigier : celui de « cohérence ». C'est la cohérence qui fait que nos concitoyens comprennent – et en l'occurrence, ils ne comprennent pas – ou adhèrent – et en l'occurrence, ils n'adhèrent pas – aux plans du Gouvernement. Et l'autre qualité indispensable, c'est le bon sens. En quoi interdire aux gens de se déplacer au-delà de 100 kilomètres tout en les obligeant à s'agglutiner dans les transports en commun d'Île-de-France pour aller travailler relève-t-il de la cohérence et du bon sens ?