Ce n'est le cas ni en matière politique, ni en matière sanitaire.
S'agissant des plages, vous avez en reculé par rapport à votre position initiale, en autorisant leur ouverture dans le cadre du respect des précautions sanitaires élémentaires – c'est tant mieux. Il est possible d'en faire autant concernant les déplacements de plus de 100 kilomètres. Comme le montrent toutes les raisons déjà évoquées ici, le vrai problème, c'est la proximité et la promiscuité que connaissent certains de nos concitoyens.
La question n'est pas d'ordre législatif.