Aux arguments avancés par mes collègues et relevant des libertés publiques, j'en ajouterai un, qui fondera mon intervention dans la discussion générale et qui tient à ce qui ne figure pas dans le texte.
Je vous invite, chers collègues, à porter attention à ce que le texte signifie en creux. Il interroge la confiance que les Français peuvent placer dans la gestion de droit commun de l'état sanitaire de notre pays par un exécutif dont nous tenterons d'établir qu'il est désormais affaibli. Or on ne confie pas les libertés publiques à un exécutif faible.