J'avais déjà eu des difficultés à comprendre cette décision dès le stade de la commission, eu égard à un contexte sanitaire, social et économique qui ne s'y prête absolument pas et qui nous confronte, nous le savons tous ici, à d'autres urgences et priorités. Vous avez expliqué en commission ne pas être responsable du calendrier d'examen parlementaire. L'inscription des textes examinés dans le cadre des niches est, en effet, décidé à l'avance mais cet argument ne vaut pas pour la discussion en séance publique : vous auriez tout à fait pu renoncer à votre proposition de loi lors de la conférence des présidents de ce mardi.