Contrairement à notre collègue Breton, je pense que pour un enfant qui s'est construit avec un prénom, en changer est déjà particulièrement difficile, car le prénom fait partie de notre construction. Permettre à un adolescent de donner son point de vue sur le nouveau prénom qu'on voudrait lui faire porter est un minimum – je dis bien un minimum. Demander à un enfant de onze ans et demi ou douze ans de changer de prénom, c'est déjà très lourd. Je veux donc que l'on maintienne l'article, et j'aimerais même que l'on aille plus loin concernant la possibilité ou non de changer de prénom.
Le 09/12/2020 à 09:56, Laïc1 a dit :
Et la question du prosélytisme intra-familial n'est pas même abordée...
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui