Je comprends parfaitement la nécessité d'harmoniser les textes entre eux. Néanmoins, ce qui me préoccupe avant tout, c'est l'intégrité de l'enfant, car je pense que le prénom fait partie de notre identité. Pourquoi l'enfant pourrait-il être entendu quand ses parents divorcent mais pas lors de son adoption ? J'entends qu'il a la possibilité de saisir le conseil de famille, mais notre intérêt et notre devoir de législateur est de protéger le plus vulnérable. Dans le cas présent, il s'agit de l'enfant. Je maintiens donc mon amendement.