Je vous remercie, madame la ministre, monsieur le rapporteur, ainsi que vous, mes chers collègues, d'avoir été présents jusqu'au bout de ce débat.
Cette séance a été pour moi un grand moment d'émotion : rien ne prédestinait en effet le fils d'une famille modeste– je suis très ému, vous l'aurez remarqué –, un enfant d'ouvriers à présider un jour une séance de l'Assemblée nationale.