Monsieur le rapporteur, madame la ministre déléguée, je ne vous intente pas de procès d'intention, mais le fait que vous ne vous soyez pas exprimés de façon spontanée – vous l'avez fait, monsieur le rapporteur, après que nous avons remarqué que vous n'aviez pas pris la parole – est très révélateur non pas du fait que vous soyez muets, mais d'une forme de banalisation de l'état d'urgence sanitaire.