Dans le cadre de ses missions d'évaluation, la commission indépendante doit pouvoir s'adresser à l'ensemble des acteurs du développement, que ce soient les administrations publiques ou de l'État, mais aussi les multiples organisations qui concourent à l'aide publique au développement. Les ONG, entre autres, demandent régulièrement – de notre point de vue, avec raison – plus de transparence et d'évaluation ; il est donc normal qu'elles puissent être sollicitées par la commission. C'est l'objet de cet amendement.