Les amendements de Marc Le Fur pour ce dossier
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Mais je sais que tout le monde, ici, me fait confiance : il n'y a donc pas de problème.
Je suis saisi de deux amendements identiques, nos 19 et 22, tendant à supprimer l'article. La parole est à M. Jean-Paul Lecoq, pour soutenir l'amendement no 19.
Je suis saisi de deux amendements, nos 16 et 26, qui peuvent faire l'objet d'une présentation groupée. La parole est à M. Jean-Louis Bricout, pour les soutenir.
Sur les amendements identiques suivants, nos 5 et 30, je suis saisi par le groupe Les Républicains d'une demande de scrutin public. Le scrutin est annoncé dans l'enceinte de l'Assemblée nationale. Quel est l'avis de la commission sur les amendements nos 16 et 26 ?
Je suis saisi de deux amendements identiques, nos 5 et 30. La parole est à Mme Sabine Rubin, pour soutenir l'amendement no 5.
Voici le résultat du scrutin : Nombre de votants 46 Nombre de suffrages exprimés 46 Majorité absolue 24 Pour l'adoption 20 Contre 26
Je suis saisi de deux amendements identiques, nos 17 et 23, tendant à supprimer l'article. La parole est à M. Pierre Dharréville, pour soutenir l'amendement no 17.
Cet amendement n'avait en effet pas été retenu à l'époque, mais tout le secteur apicole a énormément souffert ces derniers mois. Lui donner un signe de soutien, modeste au demeurant, pour défendre une production faite non seulement par des professionnels, mais aussi par des amateurs passionnés, serait objectivement bienvenu.
Le logement est en train de devenir un sujet très sensible. Actuellement, les choses ne se passent pas si mal, l'activité est forte, mais les craintes se multiplient pour les mois à venir. Les maires nous informent que les dépôts de demande de permis de construire ont diminué très sensiblement, et nous sommes alertés par différents partenaires....
Je ne tomberai pas dans le piège qui nous est tendu par le Gouvernement et par notre rapporteur général. Nous ne sommes pas une assemblée technique. Nous ne sommes pas une assemblée technocratique. Nous abordons les questions qui nous remontent de l'opinion. J'entends depuis ce matin des gens se réjouir : il n'y a plus de décrets d'avance, c'e...
Cela signifie que les gens ont des choses à dire. Si nous ne les disons pas pour eux, d'autres le feront, et ils le feront dans d'autres enceintes, dans la rue, et c'est pour cela que nous avons l'intention de nous exprimer sur le logement, sur l'énergie, sur la menace que fait peser le prélèvement à la source sur le pouvoir d'achat. Voilà les ...
Monsieur le ministre, je ne comprends pas que vous ne vouliez pas aborder la question du logement. Elle est cruciale, et elle est majeure en termes d'emploi, chacun le sait. De surcroît, s'agissant du dispositif Pinel, le Gouvernement semble prendre l'initiative d'évolutions qui ne semblent pas inintéressantes. Vendredi dernier, lors de l'exam...
Le PTZ cessera de bénéficier aux acheteurs dans le neuf en zone B2, c'est-à-dire dans tout le secteur rural, à partir du 31 décembre 2019, après deux années d'un PTZ dont la quotité aura été réduite de moitié par rapport à 2017. Je crains que cette évolution ne soit redoutable pour nos collectivités, pour nos entreprises et pour les ménages qui...
Il concerne la grande préoccupation actuelle de nos concitoyens, à savoir l'augmentation du prix des carburants, gazole et essence. Cette augmentation étant considérable, le présent amendement vise à instaurer un moratoire sur la hausse de la fiscalité sur les carburants, afin d'interrompre le cycle infernal que vous voulez imposer à nos concit...
Monsieur le ministre, monsieur le rapporteur général, je suis surpris que vous ne répondiez pas à la préoccupation majeure de nos concitoyens. Êtes-vous rentrés chez vous récemment ? Avez-vous entendu nos concitoyens ?
Il s'agit de leur sujet de conversation, il s'agit de leur sujet d'irritation et il s'agira bientôt – hélas ! – de leur sujet de mobilisation.
Je le constate chez moi : beaucoup se proposent de mettre en place, le 17 novembre prochain, des barrages et des blocages. Cela risque d'être redoutable. Tâchons de l'éviter !
La taxe carbone est un impôt sur les ruraux, qui sont pénalisés 2,5 fois plus que les autres.
C'est aussi un impôt sur les pauvres, car il est anti-redistributif : plus les gens sont modestes, plus le coût du transport pèse lourd dans leur budget. C'est enfin un impôt sur le travail, en particulier le travail ouvrier.
Mes chers collègues, 70 % des Français vont travailler en voiture – je m'appuie ici sur une étude de l'INSEE. Les ouvriers sont surreprésentés dans les migrations pendulaires automobiles : cela concerne 78 % d'entre eux, contre 70 % pour la moyenne des actifs. En général, les ouvriers sont les actifs qui travaillent le plus loin de leur domicil...