Les amendements de Olivier Falorni pour ce dossier
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Mes chers collègues, merci à vous pour cet accueil et ce soutien manifesté avant même le début de ce débat fondamental pour des millions de Français – car vous le savez comme moi : des millions de Français nous regardent ou nous regarderont. Il y a un mois, Paulette Guinchard, qui fut secrétaire d'État chargée des personnes âgées de 2001 à 200...
Le 31 mars, pour la première fois dans l'histoire de notre pays, une commission permanente du Parlement, en l'occurrence la commission des affaires sociales de notre assemblée, a enfin reconnu à nos concitoyens le droit à une fin de vie libre et choisie en adoptant à une large majorité, au terme de sept heures de débat d'une grande richesse, la...
Ces feuilles n'ont qu'un but : empêcher l'Assemblée nationale, empêcher les représentants de la nation, les députés, de voter ici, souverainement !
Mes chers collègues, en refusant de légaliser toute aide active à mourir, la France a jusqu'à présent fait preuve d'une grande hypocrisie. La réalité, que certains ne veulent toujours pas voir, quelle est-elle ? C'est le départ d'un nombre croissant de nos concitoyens vers les pays frontaliers pour mourir, avec la douleur supplémentaire de l'ex...
Tous les amendements de rédaction globale visent, à une exception près, à réécrire l'article 1er pour supprimer l'assistance médicalisée active à mourir. Ces amendements ayant pour objectif de supprimer ce que le texte veut instaurer, vous comprendrez que j'émette un avis défavorable les concernant. En revanche, l'amendement no 2929 de notre co...
Merci, monsieur le ministre, de votre intervention et d'avoir eu la sagesse de vous en remettre à notre sagesse. Je pense qu'elle s'est déjà exprimée et je crois que les Français l'ont vu. Vous pourrez faire tout ce que vous voulez, chers collègues, les Français ont vu.
Non, vous n'aurez pas l'occasion de faire de rappels au règlement. J'estimais utile de rappeler dans ce texte qu'il n'y avait évidemment aucune opposition dans notre esprit entre soins palliatifs et assistance médicalisée active à mourir. Je rappelle que les Belges, en 2002, ont voté en même temps une loi sur les soins palliatifs et une loi su...
J'ai donc déposé hier soir un amendement pour préciser que le droit à une fin de vie libre et choisie reposait sur une double garantie : un accès universel aux soins palliatifs – monsieur le ministre, je compte vraiment sur le plan que vous avez évoqué pour les soins palliatifs, car nous en avons besoin ; militant de l'aide active à mourir, je ...
Quand j'aurai un peu plus de temps, après l'examen de ce texte, je me lancerai dans une aventure littéraire. Si le sujet n'était pas aussi grave, ce serait grotesque. Je pense que je vais publier une sorte de bêtisier…
On verra l'utilisation que l'on peut faire du dictionnaire des synonymes : on remplace « être humain » par « homme » puis par « femme » puis par « personne humaine » puis par « être humain avec un coeur », etc. Vraiment, vous donnez une image lamentable de l'Assemblée nationale.
J'avais déposé cet amendement, un amendement transpartisan. Vous l'avez compris, ce combat que nous menons est celui de l'unité pour l'ultime liberté. Je veux à mon tour saluer tous ceux qui se sont engagés en cosignant cet amendement. Je pense évidemment aux auteurs d'autres propositions de loi : je salue à mon tour Jean-Louis Touraine,
et je ne résiste pas au plaisir de faire ovationner par La République en marche Caroline Fiat,
Je n'oublie pas que ce combat est aussi mené dans l'autre chambre, et je salue Marie-Pierre de La Gontrie, qui a mis ce sujet en avant au Sénat.
Je vous remercie, chers collègues, d'avoir, par ce vote, envoyé un message aussi fort ! Aujourd'hui, les députés de l'Assemblée nationale française ont adopté l'article 1er de la proposition de loi donnant le droit à une fin de vie libre et choisie,
Des millions de Français savent désormais que des députés de tous les partis défendent cette liberté. Malgré l'obstruction parlementaire qui nous empêchera d'achever l'examen de la proposition de loi, nos collègues ont déjà perdu. Je peux dire désormais, ici et maintenant, que nous avons gagné !
Vos interrogations sont nombreuses, monsieur Bazin, et elles sont toutes légitimes, au même titre que chaque conviction exprimée. Vous avez, et je vous en remercie, salué les auditions que nous avons organisées. Nombre d'acteurs que nous avons entendus nous ont fait part d'une certaine lassitude d'avoir à présenter de nouveau leur opinion qu'il...
Je vous prie de m'excuser, j'étais en conversation avec un autre Olivier. Et lorsque deux Olivier discutent, ils ne parlent pas uniquement de paix, comme leur prénom les y invite, mais aussi, beaucoup, de liberté – notamment d'ultime liberté. Ces amendements auront été l'occasion pour chacun d'exprimer sa conviction. Lorsque, comme de nombreux...