Les amendements de Pierre Cordier pour ce dossier

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C'est vrai que vous êtes experts en soulèvements populaires… Ce sont les gilets jaunes de la Biélorussie !

Encore une victoire pour LR aux municipales ! Vous n'avez pas eu à féliciter beaucoup de députés du groupe LaREM, monsieur le président !

Il n'y a plus qu'une secrétaire d'État dans ce Gouvernement ? Un Premier ministre, deux secrétaires d'État et une porte-parole, ça suffit finalement puisque c'est l'administration qui gouverne…

Vous avez fait le contraire pendant trois ans ! Vous étiez rapporteur général de la commission des affaires sociales !

La réalité est dure à entendre ! Elle est pourtant le résultat de la politique que vous menez depuis trois ans !

Toutefois, vous devez comprendre la colère de nos compatriotes, qui viennent de vivre une période très difficile, au cours de laquelle de nombreux citoyens se sont dévoués corps et âme pour les autres. J'ai une pensée pour tous ces gens de France ayant perdu un être cher. J'ai une pensée pour celles et ceux qui, chaque jour, ont sauvé des vies ...

Benoît Vallet, ancien directeur général de la santé, affirme que les masques détruits auraient pu être utilisés : « Ces masques peuvent être utilisés, même quand ils sont anciens ; ils conservent leurs propriétés. »

Tel était le cas pour une grande partie d'entre eux, vous le savez très bien, monsieur le ministre.

Ce ne sont pas des mots que nous voulons, ce sont des actes ! Parler c'est bien, agir c'est mieux !

De quoi s'agissait-il ? Accorder aux parents qui ont la douleur de perdre un enfant douze jours de congés, au lieu de cinq actuellement. Il ne s'agit pas de polémiquer, mais les mots et les arguments utilisés par les membres de la majorité ont blessé, scandalisé, révolté nos concitoyens.

Je veux saluer la dignité de notre collègue Guy Bricout, qui a essayé – en vain – de vous convaincre.

Monsieur le Premier ministre, lors des réunions préparatoires entre votre cabinet et ceux de Mme Pénicaud, de M. Taquet et de Mme Schiappa, comment avez-vous abordé cette proposition de loi ? En séance, nous vous parlions deuil, traumatisme : vous avez répondu technique, juridique. Nous vous parlions humanité, vous avez répondu droit du travail.

Prenant conscience de l'absurdité de votre raisonnement, certains parmi vous ont reculé, mais avec maladresse et malhonnêteté. Depuis deux jours, nous entendons tout et n'importe quoi, des députés inventant des groupes de travail ou prétendant avoir voté contre la proposition de loi parce que « les douze jours étaient insuffisants ». Quelle ind...

Certains osent encore demander de faire preuve d'humanité à l'égard des députés présents jeudi dernier, et qui ont suivi comme des moutons vos consignes de vote.

Un ancien ministre ose même accuser notre collègue Guy Bricout d'avoir tenté un coup politique, alors que nous pensions tous que ce texte serait adopté à l'unanimité ! Monsieur le Premier ministre, ce n'est pas une erreur collective, mais une faute morale de votre majorité !

Néanmoins, la situation est trop grave, sensible et douloureuse pour ne pas nous rassembler. Alors, monsieur le Premier ministre, comment allons-nous avancer ensemble ? Comment allons-nous, collectivement, toutes sensibilités confondues, aider les familles à vivre leur deuil ?

Monsieur le Premier ministre, au nom des députés du groupe Les Républicains, je vous souhaite, à votre gouvernement et à vous-même, une bonne année 2020 !

Une année qui serait enfin placée sous le signe du dialogue et de l'écoute. Une année où vous prendriez enfin en considération les difficultés des territoires ruraux et frontaliers, qui sont pénalisés par vos baisses de dotations. À titre d'exemple, monsieur le Premier ministre, le conseil départemental des Ardennes a perdu 5 millions d'euros ...

Une année où vous soutiendriez l'industrie traditionnelle, qui souffre malgré vos belles déclarations – je pense notamment aux filières de la forge, de la fonderie et de l'estampage. Une année où vous écouteriez la souffrance des agriculteurs, en les aidant à affronter la concurrence déloyale provoquée par le CETA, l'accord économique et comme...

Une année où les forces de l'ordre seraient respectées et considérées. Une année où nous ne serions plus les champions d'Europe des prélèvements obligatoires – n'est-ce pas, monsieur Darmanin ? Une année où les oppositions ne seraient plus considérées comme des trublions ou des parias, mais seraient respectées – car nous avons des idées, et n...