Les amendements de Sébastien Jumel pour ce dossier

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Mais vous nous trouverez sur votre route à chaque fois que vous vous apprêterez à flinguer ce qui rend l'État protecteur et bienveillant : on va vous rendre la vie impossible à chaque fois, sur le fond comme sur la forme !

Sur celui de l'article 100, madame la présidente. Nous vous voyons arriver à la présidence avec beaucoup de plaisir et de sérénité,

tant nous avons eu à subir, durant la présidence précédente, le non-respect de la pluralité de notre hémicycle et des différents groupes qui le composent,

puisque seuls ses amendements ont été ciblés par le laminage digne de l'article 49 alinéa 3 auquel se livre la présidence de l'Assemblée nationale. On vient de porter à ma connaissance un procès-verbal rendant compte des propos qu'a tenus hier le président Ferrand à propos des amendements déposés par nos collègues de droite. Ce document me fai...

Vous risquez donc de voir certains de vos amendements subir le même sort que ceux des parlementaires communistes.

Chers collègues, à la suite des propos tenus hier par M. Guerini, qui a réécrit l'histoire et tenté de donner des leçons aux parlementaires communistes, je vous recommande de garder raison.

Madame la présidente, je vous demande de faire en sorte que, conformément aux usages, la présidence de l'Assemblée traite tous les groupes avec le même respect et de veiller à ce que les décisions de la conférence des présidents ne soient pas utilisées pour nier le droit constitutionnel – ce que cette instance n'a pas vocation à faire. Je souha...

Nous userons de ces droits fondamentaux au cours de la nouvelle séquence qui, je l'espère, va s'ouvrir avec beaucoup de sincérité et de sérénité, et dans le respect de la pluralité au sein de l'hémicycle.

L'opposition ayant été personnellement mise en cause, je me dois de faire ce rappel au règlement, qui se fonde sur l'article 100. Je ne sais pas qui est la députée qui vient de s'exprimer : elle est, comme on dit chez moi, inconnue au bataillon de Joinville, tant son silence est assourdissant.

Je vous confirme que l'opposition est là pour débattre du fond. Le projet d'instaurer un système universel de retraite apparaît à nos yeux comme la volonté de transférer un point de PIB…

Votre système n'est ni juste, ni solidaire, ni redistributif, ni universel. Il n'est même pas constitutionnel, comme vient de le rappeler brillamment M. de Courson. Lorsqu'on prend le soin de supprimer la référence aux vingt-cinq dernières années de carrière, on pénalise les retraites du privé ; lorsqu'on prend le soin, pour la fonction publiq...

Rappel au règlement sur le même fondement que celui de M. Dharréville. L'irrecevabilité de ces amendements en rajoute sur le sentiment que nous avons eu, en milieu d'après-midi, d'être muselés.

Si ces amendements ont été déclarés irrecevables au titre de l'article 40, je souhaite que la commission des finances nous apporte les précisions nécessaires. Si tel n'est pas le cas, je propose alors que la commission spéciale se réunisse pour nous expliquer à quel titre ils l'ont été. En effet, la commission spéciale n'avait pas constaté que ...

Sur le fondement de l'article 58, alinéa 5, madame la présidente. Avec beaucoup de légitimité, le président Woerth nous explique – et nous le respectons – que certains des amendements que nous avons déposés, notamment ceux tendant à supprimer la référence à l'âge d'équilibre, engendrent des charges. Il a également dit – et nous l'avons écouté ...

Comme on dit chez moi, vous endormiriez un cat sur une pouque. Autrement dit, vous essayez de nous endormir : vous déroulez « tranquillou » votre projet qui vise à broyer des vies, comme si nous voguions sur un long fleuve tranquille.

Monsieur le président, je vous présente mes plates excuses. Tout à l'heure, j'ai sous-entendu que vous pouviez mentir. Vous l'avez compris comme un reproche personnel, alors que ce reproche s'adressait à vous tous. J'ai ressorti les professions de foi – pas celles des clampins du coin, celles d'élus qui ont du poids dans la majorité.

Je l'avais déjà fait en commission, mais cette fois j'ai mené une exploration plus approfondie. Parmi eux, François de Rugy, Olivier Dussopt, Bruno Le Maire, Gilles Le Gendre – le président des Playmobil –

Je n'y ai pas lu un mot sur votre mauvais projet, sur votre intention de flinguer le système de retraite par répartition, sur votre décision de faire travailler les gens plus longtemps pour percevoir une retraite moindre ! Pas un mot sur votre volonté de casser les régimes spéciaux et la reconnaissance des spécificités ! Pas un mot sur la maniè...

Alors je voudrais m'excuser, parce que vous n'avez peut-être pas menti volontairement. Du moins avez-vous tous menti par omission, ce qui est très grave dans un moment où nous nous apprêtons à voter un projet qui bousculera la vie de ceux que nous représentons : les verriers au bout chaud, les trieuses de verre, les égoutiers, les salariés de l...

Il tourne à partir du moment où la parole est engagée, et c'est d'ailleurs le sens de mon intervention.