Les amendements de Thibault Bazin pour ce dossier

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Monsieur le Premier ministre, comptez-vous lever ce critère qui pénalise les petites collectivités de nos territoires ruraux et se révèle inadapté aux réalités du terrain, afin que le « quoi qu'il en coûte » n'oublie aucun territoire méritant de la République et s'applique à tous ceux qui se sont engagés pour le bien de tous ? C'est une questio...

Madame la ministre, il faut revoir vos règles profondément injustes. L'injustice territoriale est en marche, et je le regrette profondément !

Monsieur le Premier ministre, lors de la récente campagne électorale, j'ai été frappé par la volonté de beaucoup de nos concitoyens de voir enfin revalorisée la valeur travail. Je souhaite vous relayer aujourd'hui leur attente légitime. En effet, beaucoup d'entre eux vivent mal le fait de travailler pour un salaire peu gratifiant alors qu'ils ...

De même, j'ai rencontré des retraités vivant difficilement de leur petite retraite alors qu'ils ont travaillé toute leur vie. Cela suscite un profond sentiment d'injustice.

J'ai rencontré aussi dans ma circonscription de nombreux chefs d'entreprise qui aimeraient embaucher et qui ne trouvent pas de personnes à employer.

Certains ont fait des investissements lourds qu'ils ne peuvent optimiser faute de main-d'œuvre. Ils pourraient produire davantage en France mais ils manquent de candidats au travail. C'est fortement dommageable. Notre pays souffre donc d'un déphasage entre le nombre de chômeurs qui reste trop important et ces milliers d'emplois qui ne sont pas...

Et nos concitoyens ne voient pas d'amélioration à cette situation. Le candidat Macron avait soi-disant fait de la valeur travail un de ses thèmes favoris, lors de sa campagne et après la crise des gilets jaunes.

Mais les résultats ne sont pas là. Je suis persuadé que cet échec participe à la désillusion de nos concitoyens qui se sont massivement abstenus.

Que fait le Gouvernement pour inciter vraiment, les bénéficiaires du RSA qui le peuvent à trouver et accepter un emploi ?

À vous entendre, tout va bien. Allez sur le terrain écouter les acteurs économiques ! Vous multipliez les discours, or il faut agir : c'est une question de justice sociale !

Monsieur le Premier ministre, demain sera le triste anniversaire du premier confinement. J'ai bien conscience que le Gouvernement a dû faire face à une crise d'une violence inouïe.

Néanmoins, le bilan de sa gestion est bien sombre. En effet, votre gouvernement a durement attenté aux libertés des Français au prix d'une détresse psychologique, chez eux, parfois dramatique. La France paie un coût économique très élevé et vous n'avez pas su suffisamment protéger nos concitoyens. Les Français et les soignants ont en effet man...

Nous avons subi un défaut d'anticipation quasi systématique, des lourdeurs administratives incroyables avec moult attestations et protocoles indigestes, et un recul de notre souveraineté. Le démarrage de la vaccination s'est révélé catastrophique – une vaccination à deux vitesses entre les métropoles et le reste du territoire. Quelque 4 millio...

Le 15 mars, 5 millions de Français avaient reçu une première injection, contre 25 millions de Britanniques outre-Manche… Enfin, depuis un an, nous subissons l'accumulation d'ordres et de contre-ordres, avec des ministres qui disent souvent le lendemain le contraire de ce qu'ils affirmaient la veille.

D'abord sur le masque, puis sur les tests massifs et maintenant sur le vaccin AstraZeneca. Monsieur le Premier ministre, vous avez incité les Français, dimanche soir, à avoir confiance dans ce vaccin avant que, vingt-quatre heures plus tard, le Président de la République n'en suspende l'utilisation.

Résultat catastrophique : angoisse des Français, démobilisation des professionnels. Alors que la France compte plus de 90 000 morts du covid-19, alors que l'on nous menace à nouveau de confinement, quand allez-vous cesser de faire de la mauvaise communication et d'infantiliser nos concitoyens ? Les Français en ont marre ! Ils veulent être prot...

Il y a une solution, monsieur le ministre : vacciner, vacciner et vacciner ; et en finir avec les injonctions contradictoires.

Je tiens à vous alerter, monsieur le Premier ministre, sur la situation très préoccupante des entreprises du bâtiment et des travaux publics – BTP – , mises à mal par la crise que nous traversons. Les commandes et les appels d'offres sont insuffisants. À cela s'ajoutent des conditions difficiles pour les travailleurs dans les chantiers, en rais...

C'est un premier pas, qu'avec mon collègue Marc Le Fur nous ne trouvons ni assez pragmatique, ni suffisant, et trop lourd pour des communes déjà bien sollicitées.

Pourquoi ne pas imaginer rapidement un dispositif plus simple et plus adapté, comme pour les routiers, en agréant des restaurants qui seraient accessibles sur présentation de la carte professionnelle du BTP ? Monsieur le Premier ministre, quand permettrez-vous aux ouvriers et aux artisans de disposer d'une pause déjeuner digne de ce nom ?