Interventions sur "investissement"

383 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPerrine Goulet :

Le plan de sauvetage d'Areva implique un investissement conséquent de 4,5 milliards d'euros assuré par l'État. Ces fonds seront principalement injectés dans NewCo, filiale d'Areva centrée sur les combustibles, et dans Areva SA, maison mère du groupe. Cette recapitalisation, qui représente 0,1 point de déficit public cette année, affectera l'objectif de ramener celui-ci sous la barre des 3 %. Nous pouvons donc nous interroger sur les sources de finance...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉmilie Bonnivard :

...ement ou indirectement, via la Caisse des dépôts et consignations, actionnaire ? Est-il logique qu'il conserve des participations dans l'ensemble de ces entreprises – je pense à Transdev, à Keolis et à RATP Dev –, qui sont parfois en concurrence au niveau international ? Par ailleurs, quelle est la stratégie de l'APE et de Bpifrance dans le secteur du tourisme ? Comment accompagner les besoins d'investissement dans ce secteur, notamment dans le domaine numérique, afin d'éviter la dépendance de notre pays, qui est la première destination touristique au monde, vis-à-vis de géants américains tels qu'Airbnb ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFabien Roussel :

Je voudrais préciser ma question de tout à l'heure sur les investissements des constructeurs français, notamment dans l'automobile et le secteur ferroviaire. L'État y participe, en particulier avec le groupe PSA. Dans les Hauts-de-France, notamment dans le Pas-de-Calais, où Renault et Peugeot comptent beaucoup d'établissements, les inquiétudes sont fortes chez les ouvriers et chez les élus locaux, mais aussi chez les chefs d'entreprise, notamment ceux de PME. Peugeot a...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarguerite Deprez-Audebert :

À mesure que les motifs de la volonté du Gouvernement de faire une pause dans l'investissement concernant le canal Seine-Nord Europe s'éclaircissent, je n'ai de cesse de penser que la solution au problème se trouve, une fois de plus, au niveau de l'Europe. La semaine dernière, lors d'une séance de questions au Gouvernement, notre Premier ministre, Édouard Philippe, a identifié un emprunt manquant de 700 millions d'euros dont « nul n'a proposé de prendre la garantie. » Xavier Bertrand, pré...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAndré Chassaigne :

...7,3 milliards d'euros sous forme de prêts de la Banque centrale européenne (BCE), à des taux compris entre 0 % et 0,4 %, en plus des 1 700 milliards d'euros de garanties des plans de sauvetage élaborés à la suite de la crise de 2008. Ne pensez-vous pas qu'il vaudrait mieux créer, sous l'égide de la BCE, un fonds européen de développement solidaire et écologique qui permettrait de lancer un plan d'investissement global de l'Union européenne, soutenant une reconstruction productive, durable, sur des bases sociales de solidarité ? Ne pensez-vous pas que le budget – qui représente seulement environ 1 % de la richesse créée dans l'Union européenne – est étriqué au point d'incarner une forme d'absurdité économique ? Dans une zone économique intégrée, refuser de se doter d'un budget conséquent ne revient-il p...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurianne Rossi :

...engagé auprès des 60 000 collaborateurs de l'entreprise. En matière de performance environnementale, pouvez-vous nous apporter des précisions quant à la transition énergétique du parc de bus, ou encore les mesures qui seront prises en faveur de l'amélioration de la qualité de l'air dans de nombreuses stations de métro, où la situation est particulièrement préoccupante ? Surtout, une politique d'investissement très ambitieuse a été initiée en 2016, comprenant un programme de 8,5 milliards d'euros pour la période 2016-2020, dédié tout particulièrement au prolongement de plusieurs lignes et à la rénovation du réseau par le renouvellement du matériel roulant, la modernisation d'infrastructures et la rénovation des gares. Cet effort d'investissement, salutaire, sera-t-il maintenu, et quelles ambitions port...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMartial Saddier :

Chaque député du groupe Les Républicains sera libre, dans quelques instants, d'exprimer le vote qui, par définition, lui appartient. Néanmoins, en toute transparence, je voudrais vous dire, madame la présidente, que vous bénéficiez en ce début d'audition d'un a priori positif. Très sincèrement, la qualité et l'exhaustivité de votre intervention, tant sur le fonctionnement que sur l'investissement, n'ont fait que conforter ce sentiment : vous devriez dans quelques instants recueillir notre confiance. Sans remettre en cause les chiffres que vous avez avancés, nous nous interrogeons surtout sur la capacité de la RATP à remplir ses engagements en matière d'investissement : au regard notamment de la remontée des taux d'intérêt, aurez-vous les capacités d'assumer le financement du plan plurian...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristophe Bouillon :

...ce sujet : souhaitez agir encore davantage – et comment ? – en faveur de la féminisation, notamment des agents ? Je voudrais également vous interroger sur l'accessibilité, question importante, si l'on veut être capable d'accueillir les Jeux olympiques et paralympiques. Or, en région parisienne, l'accessibilité dans les transports pose parfois un vrai problème. Ma dernière question porte sur les investissements car le nerf de la guerre, ce sont tout de même les moyens. Des investissements importants ont été engagés, notamment pour le CDG Express. Je voudrais en connaître le calendrier et savoir quel niveau d'investissement sera nécessaire à sa réalisation ? Quelles en seront les conséquences de ce projet, notamment sur le RER B ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Aubert :

Je voudrais vous interroger sur l'Agence des participations de l'État, qui est placée sous votre autorité, et plus particulièrement sur la politique de cession d'actifs stratégiques dans l'année à venir, afin que vous précisez quelque peu le modus operandi. L'idée d'un fonds a été évoquée pour placer les 10 milliards d'euros concernés et ensuite pour réaliser des investissements, puis on a expliqué qu'il s'agirait peut-être tout simplement de cessions permettant de faire rentrer de l'argent frais dans des caisses publiques qui en ont d'ailleurs bien besoin. Il a été question de cessions d'actifs, mais aussi parfois de privatisations. Ce serait le cas s'agissant d'Aéroports de Paris (ADP), l'État détenant 50,6 % des parts : il y aurait donc un impact et aussi une forme d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Louis Bricout :

...ns notre pays, que les atouts de la Suède tiennent à la place importante laissée aux branches et à la facilité avec laquelle se déroule le dialogue social. Plus globalement, quels enseignements tirez-vous de cette étude pour la France ? Le crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE) avait pour objectif principal d'aider à la reconstitution des marges des entreprises et de favoriser l'investissement. Mais ce dispositif ne se place pas dans une logique de filières et ne fait pas de différence entre les entreprises ayant une vocation à l'export et celles qui s'inscrivent plutôt dans l'économie de proximité. D'où le reproche fréquent que le CICE « arrose » parfois trop largement, et des interrogations sur les retours en termes d'emploi. Le Gouvernement prévoit de transformer le CICE en baisse d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichel Castellani :

...sursaut de croissance, car la France souffre d'une croissance molle, inférieure à celle de la plupart de ses partenaires européens, et la croissance conditionne le niveau d'emploi et l'assiette fiscale. Dans les domaines de la formation, de recherche et développement, de nouvelles technologies, d'infrastructures, d'énergies renouvelables, y a-t-il des ressources qui permettraient d'amplifier les investissements ? Y a-t-il des réserves d'accélération, et si oui, lesquelles ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarc Le Fur :

L'alerte est réelle : vous allez susciter bien des problèmes. Ma dernière alerte concerne la réforme de l'ISF, pour laquelle vous avez choisi la pire des solutions. Au lieu de supprimer cet impôt, vous le réservez au foncier, que vous considérez, selon vos propres termes, comme « une rente », « un capital improductif ». Or le foncier est un investissement, et nous avons besoin d'investisseurs dans le locatif, faute de quoi nous le réserverons aux seules HLM. On en vient à ce paradoxe que l'État, qui encourage l'investissement dans le locatif, notamment par le biais du Pinel, le découragera par l'imposition au titre de l'ISF, qui portera sur le seul foncier. Vous créez ainsi une distorsion. Vous favorisez en quelque sorte l'argent nomade au détrim...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Noël Barrot :

...r les années à venir, dans l'esprit du projet de la majorité présidentielle dont le Mouvement démocrate est un des piliers. Nous nous réjouissons que cette trajectoire concilie l'impératif de la réduction des dépenses publiques avec la baisse tant attendue des prélèvements obligatoires. Il y va du crédit de la France en Europe. Nous nous félicitons que cette trajectoire fasse toute sa place aux investissements en matière d'éducation, de formation professionnelle, de transition écologique. Il y va de l'avenir de notre pays. Alors que s'ouvrent nos débats sur le budget de la Nation pour 2018, je voudrais, au nom du Mouvement démocrate, lancer un appel, un appel à une révolution, c'est-à-dire à un renversement brusque de nos habitudes budgétaires, à une révolution dans l'évaluation de nos finances publi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles de Courson :

Pourquoi ? Le taux ne peut être remonté que par un effort considérable d'investissement, en redonnant de la compétitivité et des marges aux entreprises, car je n'ai jamais vu une entreprise déficitaire investir. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous avons pris beaucoup de retard en termes d'automatisation, de robotisation. Il faut dire clairement que la priorité est à l'entreprise. Sinon, nous ne redresserons pas notre pays. Telles sont les trois remarques préalables que je...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBénédicte Peyrol :

...oissance. Parce que oui, se réconcilier avec la fiscalité et s'y attaquer sans tabou, c'est se réconcilier avec la croissance. Monsieur le ministre, conformément au souhait du Président de la République, vous voulez réduire le niveau des prélèvements obligatoires, afin de soutenir le pouvoir d'achat des classes moyennes, de permettre aux salariés de mieux vivre de leur travail, et d'encourager l'investissement productif. C'est au sujet de ce dernier point que je souhaite m'adresser à vous aujourd'hui. Deux mesures du programme du Président de la République, que vous allez mettre en oeuvre, messieurs les ministres, et qui sont soutenues par cette majorité, démontrent que nous avons compris la nécessité de faire de la fiscalité un outil d'attractivité de la France et de compétitivité des entreprises : d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristine Pires Beaune :

Si je comprends la nécessité d'encourager les Français à investir dans nos PME et nos ETI, nos entreprises de taille intermédiaire, qui créent de l'emploi, je ne peux pas cautionner une telle mesure : non, l'achat d'actions ou d'obligations n'est pas forcément un investissement risqué. S'agissant du prélèvement forfaitaire unique, plus communément appelé flat tax, sous couvert d'une simplification dont je ne conteste pas la nécessité, vous fixez son taux unique à 30 %. Selon l'OFCE toujours, assurer la neutralité de cette mesure pour le budget de l'État nécessiterait de fixer le taux à 41 %. À défaut, le coût pour le budget de l'État d'une application pleine et entière...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSébastien Chenu :

...e structure supranationale, l'Union européenne, qui nous ponctionne d'ailleurs huit milliards d'euros par an. Car l'austérité imposée favorise le démantèlement des services publics auxquels les Français sont attachés ; elle nous mène vers leur démantèlement constant. Car l'austérité empêche le retour de la croissance. Après la crise de 2008, les Américains ont été les premiers à lancer un plan d'investissement massif. Or vous vous refusez à mettre en oeuvre un tel plan en raison du dogme de Maastricht. J'en veux pour exemple l'abandon finalement annoncé, ou plutôt murmuré, du projet de canal Seine-Nord. Car l'austérité, enfin, ne favorise qu'une poignée de privilégiés vivant dans les métropoles, les autres étant sommés de supporter à eux seuls les efforts. Mes chers collègues, ouvrez les yeux ! Cette...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHervé Pellois :

...r santé, aux modes de production, et c'est très bien ainsi. Ces contraintes peuvent devenir une chance pour notre agriculture, si nous savons répondre collectivement à ces attentes. Le plan de compétitivité et d'adaptation des exploitations agricoles mis en place par le Gouvernement précédent pour moderniser nos outils de production répond aux espérances de nos agriculteurs. Malgré la crise, les investissements dans les bâtiments sont en légère augmentation, de 0,8 %, en 2016, contrairement à ceux réalisés pour acheter du matériel, qui ont diminué de 4,8 %. Cet effort doit être poursuivi, voire intensifié, car nos outils de production sont vieillissants par rapport à nos concurrents allemands ou polonais, et ne permettent pas d'atteindre les niveaux de performance, tant au niveau énergétique que techn...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-René Cazeneuve :

Le pacte de confiance proposé par le Gouvernement vise à accorder davantage de liberté d'organisation et de gestion aux territoires. Il n'y aura pas de décision unilatérale ; pas de décision unique pour tous, pas de décision centralisée. Non : les collectivités locales seront les mieux à même de proposer les économies qui préserveront leurs capacités d'investissement tout en tenant compte de leurs spécificités.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-René Cazeneuve :

Pour les aider, un plan d'investissement de cinquante milliards soutiendra notamment le développement économique de ces territoires, l'accélération du plan très haut débit, le développement des mobilités ou encore la création d'une agence de la cohésion des territoires – ce ne sont que quelques exemples. Une des lignes rouges du cadre fixé par le Président de la République est l'inégalité entre territoires : une attention particulière ...