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Des alternatives étaient possibles mais dans votre obstination et votre orgueil, vous n'avez pas voulu les écouter. Madame la ministre déléguée, vous pouvez piétiner le Parlement à l'envi, nous confisquer la décision publique, mais n'oubliez pas une chose : les Français sauront se rappeler vos échecs et eux seuls auront à décider de votre sort. Pour les jours heureux promis par le Président de la République, il faudra se passer et de lui et de vous, et ce, dès le mois d'avril prochain.