Interventions sur "ministre de l'intérieur"

123 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLudovic Pajot :

Comme mes collègues, je demande que nous suspendions nos travaux, tant que nous n'aurons pas eu d'explications sur cette affaire de la part du ministre de l'intérieur.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristine Pires Beaune :

Si nous faisons tous ces rappels au règlement, c'est parce que nous sommes face à une situation extrêmement grave, et non à un fait divers, comme l'a dit M. le rapporteur général. À circonstances exceptionnelles, mesures exceptionnelles ! Depuis quarante-huit heures, les révélations se succèdent, de minute en minute. Et puisque ni le ministre de l'intérieur, qui est d'ailleurs disqualifié depuis ses mensonges devant la Haute Chambre…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Christophe Lagarde :

...de, que dans ces circonstances exceptionnelles, on aménage à nouveau les horaires – qui ont d'ailleurs déjà plusieurs fois changé. Il convient en tout cas de faire preuve de souplesse, car parmi les premières décisions que doit prendre le bureau, il y a la liste des personnes à convoquer. Or nous souhaitons, nous, que la première personne auditionnée, devant la commission et sous serment, soit le ministre de l'intérieur. Cela permettra peut-être enfin à l'Assemblée de faire son travail dans l'hémicycle.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPatrick Hetzel :

...t où ils ont été commis. » « Ils sont jugés par la Cour de justice de la République » – celle que votre texte veut justement supprimer. « La Cour de justice de la République est liée par la définition des crimes et délits ainsi que par la détermination des peines telles qu'elles résultent de la loi. » En raison des informations qui nous ont été communiquées cette nuit, nous voulons entendre le ministre de l'intérieur pour savoir si cet article, que vous voulez supprimer, …

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaUgo Bernalicis :

L'annonce de la réunion de la conférence des présidents à quatorze heures trente ne change rien au fait que nous voulons entendre ici le ministre de l'intérieur ou le Premier ministre, je rejoins sur ce point plusieurs des intervenants précédents. Mais, contrairement à M. Lagarde, je ne pense que la première personne à auditionner soit le ministre de l'intérieur : c'est plutôt le Président de la République.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDavid Habib :

Très sincèrement, ainsi que vous le mesurez vous-même, monsieur le président, nous ne pouvons pas reprendre nos travaux avant que les présidents de groupe n'aient été réunis sous l'autorité de François de Rugy. De même, nous ne pouvons pas reprendre nos travaux sans que ce dernier ou quelqu'un qu'il ne m'appartient pas de désigner ne nous informe de l'heure à laquelle le ministre de l'intérieur va venir devant notre assemblée.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDavid Habib :

La majorité souhaite que le Président de la République puisse assister, lors des réunions du Congrès à Versailles, au débat entre les différents groupes qui animent la vie démocratique française. Ne serait-elle donc pas capable de demander au ministre de l'intérieur, pour lequel j'ai par ailleurs du respect et de l'estime, de se présenter devant notre assemblée ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarc Le Fur :

Tant que nous n'aurons pas reçu le ministre de l'intérieur, il nous sera impossible de travailler. Chers collègues de la majorité : je me mets à votre place. L'hémicycle n'est désormais plus qu'une caisse de résonance de l'actualité :

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarc Le Fur :

S'il était venu dans notre hémicycle, cela n'aurait pas été plus mal. Nous demandons aussi la présence du ministre de l'intérieur. Je suis allé vérifier son emploi du temps, qui est très officiel. Je le twitterai dans quelques instants, de sorte que tous les Français pourront le voir.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarc Le Fur :

Dans son agenda du 14 au 22 juillet, il y a quelque chose le 14 juillet, le 15, le 16, le 17, le 18, le 19, mais rien aujourd'hui ! Strictement rien dans son emploi du temps ! Cela veut dire qu'il est disponible ! Je lance donc un avis de recherche pour retrouver le ministre de l'intérieur. Par ailleurs, je veux vous ramener un peu en arrière, mes chers collègues. Nous sommes le 26 juillet. Les acteurs de la pièce sont les mêmes. Vous êtes là, madame la ministre. Mme la présidente de la commission des lois est là. Nous examinons la loi pour la confiance dans la vie politique. Notre collègue Abad défend un amendement no 627 qui vise à appliquer aux collaborateurs du Président de la...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristian Jacob :

Tout le monde le reconnaît aujourd'hui : le ministre de l'intérieur a menti devant le Sénat. Nous en sommes tous d'accord, il n'est pas anecdotique qu'un ministre mente sciemment devant la chambre haute.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

Vous ne pouvez pas, d'un côté, revendiquer le statut de majorité investie par le suffrage universel, et de l'autre, refuser les moyens de débloquer la situation. Et le seul moyen objectif, sincère et conforme à l'esprit des lois pour y parvenir, dans un régime parlementaire démocratique, c'est que le ministre de l'intérieur, dont l'agenda est aujourd'hui vide – où est-il, d'ailleurs ? – , ou le Premier ministre viennent s'expliquer sur ce qui se passe aujourd'hui dans notre pays. Le second point que je voulais souligner, c'est qu'honnêtement, cela ferait beaucoup de bien aux députés de la majorité comme à ceux de l'opposition d'aller sur le terrain écouter nos concitoyens. Ceux-ci disent aujourd'hui : on avait cru ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Gosselin :

Hier, notre groupe avait deux fortes demandes, pour ne pas dire des exigences : la constitution d'une commission d'enquête – c'est fait, mais j'y reviendrai dans quelques instants – et l'audition du ministre de l'intérieur ou du Premier ministre. Nous avons à peu près obtenu satisfaction sur le premier point. Mme la présidente de la commission des lois a rappelé les règles du jeu ; elles nous conviennent et nous les respecterons parce que nous sommes profondément attachés au respect des règles applicables dans cette maison. Mais pourquoi attendre vingt heures pour réunir le bureau de la commission des lois ? Nous ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Gosselin :

La conférence des présidents doit se réunir à quatorze heures trente. Il serait donc parfaitement logique que le bureau de la commission des lois en fasse de même dès quinze heures ou quinze heures trente, et qu'à défaut de pouvoir entendre le ministre de l'intérieur ici, en séance publique, on puisse fixer la date et l'heure de son audition sous serment devant la commission. Cela permettrait d'accélérer le processus et de faire droit à la demande de notre collègue Jean-Christophe Lagarde. Par conséquent, si nous le voulons aujourd'hui, ou plutôt si la majorité le veut – car c'est vous, chers collègues des groupes REM et MODEM, qui avez les cartes en main – ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Gosselin :

Dès seize heures, nous pourrions avoir arrêté la liste des auditions à mener. Et je vous propose, si la commission en est d'accord, d'auditionner dès dix-neuf ou vingt heures le ministre de l'intérieur. Si on le souhaite, l'affaire est réglée !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphane Peu :

Les manquements du ministre de l'intérieur et du directeur de cabinet de l'Élysée à l'article 40 disent quelque chose sur la façon d'exercer le pouvoir et ont donc un lien direct avec la loi dont nous discutons, qui porte sur l'éthique du pouvoir et de la responsabilité que nous devons tous mettre en oeuvre – vous, aujourd'hui, dans la majorité, nous peut-être, demain, à d'autres responsabilités. Pour avoir exercé des responsabilités loca...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLuc Carvounas :

C'était un tweet du Président de la République, Emmanuel Macron ! Dès le lendemain, le Président de la République, avec son directeur de cabinet, le ministre de l'intérieur et le préfet de police de Paris ont, à la suite d'un rapport, étouffé le fait qu'une sorte de police politique, comprenant un salarié de La République en marche, un salarié du cabinet du Président de la République, se rendait dans les manifestations pour tabasser nos compatriotes. C'est une honte !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLuc Carvounas :

Je demande que le président de Rugy vienne reprendre sa place au perchoir. Si le quatrième personnage de l'État n'arrive pas, depuis vingt-quatre heures, à faire venir le ministre de l'intérieur, quel est le pouvoir du Parlement ? Qu'est-ce que c'est que ce parlement de godillots ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLuc Carvounas :

chargée de fliquer je-ne-sais-qui ; qu'hier, le ministre de l'intérieur a menti au Sénat. Le ministre de l'intérieur a dit des mensonges et il essaie de faire croire à l'opinion publique qu'il aurait commandé un rapport ?