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Je souhaite vous interroger sur un article du colonel Goya, qui vous est peut-être familier, dans lequel il procède à un comparatif de la productivité opérationnelle des forces françaises, russes et américaines au Levant au regard du nombre d'aéronefs, du personnel engagé, du coût journalier et du nombre de sorties. Il en ressort une productivité russe bien supérieure à celle des forces françaises ou américaines. J'aimerais savoir si vous estimez cette analyse pertinente et quelles sont les raisons principales de cette différence.
Je souhaite vous interroger sur un article du colonel Goya, qui vous est peut-être familier, dans lequel il procède à un comparatif de la productivité opérationnelle des forces françaises, russes et américaines au Levant au regard du nombre d'aéronefs, du personnel engagé, du coût journalier et du nombre de sorties. Il en ressort une productivité russe bien supérieure à celle des forces françaises ou américaines. J'aimerais savoir si vous estimez cette analyse pertinente et quelles sont les raisons principales de cette différence.
...ologique que représentera la mise en oeuvre du programme Scorpion, à propos duquel je veux vous interroger. Quel serait selon vous le cadencement optimal des livraisons Scorpion pour une bonne articulation avec le parc existant, notamment avec les VAB, qui resteront nécessaires pendant au moins une dizaine d'années ? Et comment s'assurer que l'hypertechnologie nécessaire pour gagner en efficacité opérationnelle soit compatible avec la rusticité imposée par le terrain ?
Mon général, je voudrais vous interroger sur la préparation opérationnelle. C'est un enjeu important pour nos forces, même si elle peut être mise en difficulté à l'occasion des engagements opérationnels, qu'ils soient en OPEX ou en OPINT – par exemple Sentinelle. Pensez-vous que les conditions de préparation opérationnelle, et notamment celles de 11e brigade parachutiste que vous connaissez bien, sont tout à fait suffisantes et adéquates ? Je pense à la disponibilité d...
...ndre à leur compte : « Méfiez-vous de la confiance aveugle ; qu'on vous l'accorde ou que vous l'accordiez. Elle est marquée du sceau de la facilité. » Quand certaines précisions nous sont données, et le président de la commission l'a très justement relevé, nous devons écouter, mais aussi faire preuve de responsabilité. Je souhaiterais également intervenir sur le problème du maintien en condition opérationnelle (MCO) des matériels. Deux tiers de nos matériels ont plus de quarante ans – en particulier les véhicules de l'avant blindés, et les engins blindés AMX 10 RC. On dit par ailleurs, et je crois que ces propos avaient été tenus par le général de Villiers, que 30 % seulement du matériel est aujourd'hui disponible instantanément. On peut donc dire que les limites sont atteintes, que l'on est au bord de...
Je souhaite moi aussi rendre hommage au général de Villiers, qui est un grand soldat et un grand chef des armées. Ma question porte sur la garde nationale. Mon général, pouvez-vous me dire, en tant que CEMAT, ce que le passage de la réserve opérationnelle à la garde nationale a changé concrètement pour vous ? De mon côté, en tant que réserviste opérationnel dans la marine, j'ai du mal à sentir un changement. S'agirait-il d'une opération de communication, essentiellement cosmétique ?
Je souhaite vous interroger, Mon général, sur les taux de disponibilité de certains matériels et en particulier de nos 55 hélicoptères Tigre dont la durée de remise en condition opérationnelle est en moyenne de 383 jours. Constatez-vous une réduction de ces délais pour les matériels aéromobiles ?
...u second semestre, du fait de cette annulation de crédits ? Ensuite, le moral des soldats semble vous tenir à coeur. Or, du fait de la réorganisation des armées, il y a quelques années, la gestion a été éloignée des foyers. Ces foyers ne sont pas ouverts suffisamment longtemps alors qu'il s'agit de vrais lieux de convivialité, appréciés par les troupes et donc bons pour leur moral. Les fonctions opérationnelles ne doivent-elles pas reprendre la main sur les fonctions support ?
...nstration et à la simulation du Rafale. Il nous a notamment été expliqué qu'une mission de combat menée par quatre Rafale aurait nécessité, il y a quelques années, une quinzaine de Mirage. On a l'impression qu'avec la sophistication et la polyvalence, on peut faire aussi bien avec moins d'avions. Il nous est par conséquent difficile, même si nous comprenons la nécessité de maintenir nos capacités opérationnelles, d'expliquer à nos concitoyens qu'alors que nous pourrons réaliser demain les mêmes opérations avec moins d'avions, nous devrons dépenser encore plus d'argent pour assurer ce maintien. L'enjeu étant fondamental, nous ne pourrons vous soutenir que si vous nous aidez à mieux comprendre ce paradoxe.