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Comme cela vient d'être indiqué, la mesure que nous proposons présente deux vertus : augmenter le nombre de maîtres de stage et permettre aux étudiants d'acquérir une vision de ce qu'est la médecine non programmée. Nous pensons que de tels stages auraient leur importance pour nos étudiants, tout comme un stage en milieu rural, comme nous l'avions demandé.
En un mot, il est essentiel d'accroître le nombre de maîtres de stage, quel que soit le cadre dans lequel ils exercent. Il serait tout à fait logique d'ouvrir cette possibilité dans les associations comme SOS Médecins. On immergerait ainsi les étudiants dans le monde de la permanence des soins. Nous soutiendrons donc cet amendement.
Bien sûr que cela peut fonctionner ! Le problème, c'est que ce n'est pas le cas partout. En inscrivant cette possibilité dans la loi, en rendant l'agrément presque systématique, on pourrait trouver en région parisienne au moins 1 300 maîtres de stage supplémentaires. Au moment où l'on parle de pénurie, il me semble délicat de s'en passer.