Publié le 1er mars 2021 par : M. Menuel, Mme Anthoine, Mme Audibert, Mme Bazin-Malgras, Mme Beauvais, M. Bony, M. Jean-Claude Bouchet, M. Bourgeaux, M. Cherpion, Mme Corneloup, M. Perrut, Mme Poletti, M. Sermier, Mme Trastour-Isnart, M. Jean-Pierre Vigier.
À l’intitulé du chapitre IV du titre III, après le mot :
« entre »,
insérer les mots :
« le secteur fluvial, ».
Avec ses 8 500 km de voies navigables, la France dispose de l’un des principaux réseaux fluviaux d’Europe. Le secteur fluvial est, par excellence, un des moyens de transport réduisant l’impact en matière de CO². Pour preuve, la mise à grand gabarit de la Seine entre les communes de Bray sur Seine et Nogent sur Seine permettrait de réduire annuellement le passage de 27 000 camions dans une petite région naturelle surnommé la Bassée. Un impact bénéfique concernant le CO² de l’ordre de 5 000 tonnes par an.
Il est de fait primordial et complémentaire d’intégrer à part entière le secteur fluvial au côté du train et de l’avion pour développer de façon cohérente les intermodalités.
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