cosignée par Emmanuelle Anthoine, Émilie Bonnivard, Ian Boucard, Jean-Claude Bouchet, Marine Brenier, Fabrice Brun, Josiane Corneloup, Jean-Pierre Door, Pierre-Henri Dumont, Claude de Ganay, Philippe Gosselin, Michel Herbillon, Patrick Hetzel, Marc Le Fur, Véronique Louwagie, Éric Pauget, Bérengère Poletti, Didier Quentin, Robin Reda, Frédéric Reiss, Martial Saddier, Jean-Marie Sermier, Laurence Trastour-Isnart, Isabelle Valentin & Pierre Vatin
Mesdames, Messieurs, Le 1er décembre 2019, les communes de Cannes et de Mandelieu‑La Napoule connaissaient une nouvelle nuit d’apocalypse à peine une semaine après les inondations dévastatrices du 25 novembre.
Deux alertes inondations se sont succédé en moins de huit jours causant de nouveaux dégâts aux biens de personnes déjà fragilisés.
En tout juste un mois, ce sont plus de 600 mm de pluies qui se sont abattus sur l’Ouest des Alpes‑Maritimes, soit l’équivalent d’une année de précipitations.
Le régime d’indemnisation actuellement en vigueur dans notre pays est encadré par la loi n° 82‑600 du 13 juillet 1982 relative à l’indemnisation des victimes de catastrophes naturelles.
Or, la multiplication de ces événements due aux changements climatiques d’ampleur que nous connaissons nécessite que des aménagements soient effectués au sein de cette loi et tout particulièrement les majorations de franchise que subissent les victimes de phénomÃ...
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