cosignée par Edith Audibert, Nathalie Bassire, Philippe Benassaya, Jean-Claude Bouchet, Bernard Bouley, Pascal Brindeau, Fabrice Brun, Annie Chapelier, Jean-Charles Colas-Roy, Josiane Corneloup, Fabien Di Filippo, Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Jacques Gaultier, Yves Hemedinger, Mansour Kamardine, Bastien Lachaud, Marc Le Fur, Marie-France Lorho, Véronique Louwagie, Emmanuel Maquet, Sereine Mauborgne, Emmanuelle Ménard, Philippe Meyer, Jérôme Nury, Éric Pauget, Guillaume Peltier, Bernard Perrut, Didier Quentin, Alain Ramadier, Jean-Luc Reitzer, Raphaël Schellenberger, Guy Teissier, Robert Therry, Agnès Thill, Laurence Trastour-Isnart, Isabelle Valentin, Michel Vialay & Stéphane Viry
Mesdames, Messieurs, Le 23 juin 2016 une majorité de citoyens britanniques se prononçait pour le retrait de leur pays de l’Union européenne.
Le Royaume‑Uni a ainsi quitté officiellement cette organisation le 1er février 2020, avant que ne s’ouvre une période de transition qui a pour sa part pris fin le 30 décembre 2020. Ce retrait a emporté de nombreuses conséquences sur les relations politiques et économiques entre les États membres de l’Union européenne, et entre ceux‑ci et le Royaume‑Uni.
À cet égard, cette sortie ne peut pas être neutre non plus sur la manière dont les institutions européennes organisent leur travail et leurs échanges.
Cette sortie du Royaume‑Uni a en effet une première conséquence visible très importante : l’anglais n’est désormais la langue maternelle que de 1 % de la population de l’Union, là où le français peut s’enorgueillir d’être la deuxième langue maternelle en nombre de locuteurs, après l’allemand,...
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