cosignée par Thibault Bazin, Jean-Claude Bouchet, Bernard Brochand, Fabrice Brun, Jacques Cattin, Paul Christophe, Dino Cinieri, Pierre Cordier, Josiane Corneloup, Jean-Pierre Cubertafon, Béatrice Descamps, Fabien Di Filippo, Julien Dive, Virginie Duby-Muller, Nicolas Dupont-Aignan, Claude de Ganay, Annie Genevard, Michel Herbillon, Patrick Hetzel, Stéphanie Kerbarh, Charles de la Verpillière, Grégory Labille, Fabien Lainé, Marie-France Lorho, Véronique Louwagie, Nicolas Meizonnet, Emmanuelle Ménard, Jérôme Nury, Alain Ramadier, Julien Ravier, Jean-Luc Reitzer, Nathalie Serre, Sira Sylla, Robert Therry, Agnès Thill, Laurence Trastour-Isnart, Michel Vialay & Stéphane Viry
Mesdames, Messieurs, Depuis maintenant plusieurs années, s’est installée en France ce qui est appelé communément désormais « l’écriture inclusive » pour prétendument « assurer une égalité des représentations entre les femmes et les hommes » en faisant apparaître explicitement et systématiquement, dans la forme et dans la structure des mots écrits, la présence des femmes à égalité avec les hommes.
La représentation graphique particulièrement compliquée lors de la prononciation orale (exemple : l’indulgent•e lecteur•rice), est encore plus acrobatique lorsque les mots sont au pluriel, où le « s » est ajouté après un point médian : les lecteur•rice•s.
L’écriture dite « inclusive » repose sur plusieurs principes et méthodes pour atteindre ses objectifs : – Mentionner par ordre alphabétique : « l’égalité entre les femmes et les hommes » ou « elle et il sont heureux ». – Mettre au féminin les noms de fonctions e...
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