Madame la rapporteure, vous semblez considérer que la réponse de l'enfant sera nécessairement positive. Or, s'il refuse, son refus d'intégration posera la question de la réalité de l'adoption. L'adoption est un processus suffisamment compliqué pour ne pas donner cette occasion à l'enfant, si tant est qu'il ait le choix – à moins qu'il ne l'ait pas, puisque votre réponse laisse entendre qu'il est obligé d'accepter. Soyons prudents : les bonnes intentions ne sont pas toujours idéales en pratique, et l'expression d'un refus risquerait de créer des situations conflictuelles dans un processus déjà compliqué.
Le 09/12/2020 à 09:54, Laïc1 a dit :
L'intérêt supérieur de l'enfant, c'est qu'il se taise et ne pose pas de questions... C'est un peu comme les citoyens finalement.
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