J'entends vos explications, monsieur le secrétaire d'État, mais vous n'apportez pas de réponse s'agissant des procédures en cours. Des mesures transitoires sont-elles prévues en ce qui concerne les apparentements en cours dans les pays qui n'ont pas ratifié la convention européenne des droits de l'homme ? Et que vont devenir les enfants dans l'attente de leur rencontre avec leurs futurs parents ? Considère-t-on que les choses sont lancées et que les personnes pourront aller au bout de leur démarche, ou celle-ci est-elle interrompue ?