J'ai bien lu, mais le droit actuel ne fait qu'inciter les parents à donner des renseignements. Il faut leur expliquer que la communication des données et des antécédents médicaux sont absolument indispensables.
J'insiste sur l'inégalité que la situation actuelle engendre, car la médecine se modernise et devient de plus en plus personnalisée : ainsi, la première question qu'un docteur pose à un patient porte sur les pathologies de ses parents. Les enfants adoptés n'auront pas la possibilité de communiquer ces informations, qui sont primordiales pour le suivi de leur santé et de celle de leurs descendants.