Interventions sur "britannique"

109 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGilles Lurton :

...int-Malo soit réintroduit dans la liste des ports bretons et normands, car il le mérite. Pour mieux comprendre cela, madame la ministre, je vous invite à venir le visiter et y rencontrer les partenaires sociaux. Deuxièmement, votre réponse s'agissant de la pêche m'inquiète un peu. Vous nous avez dit qu'en cas d'absence d'accord, si les pêcheurs français ne peuvent plus aller pêcher dans les eaux britanniques, avec le gouvernement français et la Commission européenne, vous trouveriez des moyens de compenser cette perte. Mais, au 30 mars 2019, si nos pêcheurs de Brest, de Roscoff, du Guilvinec, de Saint-Malo et de toute la côte normande…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGilles Lurton :

… ne peuvent plus pêcher dans les eaux britanniques, je crains que ce ne soit la fin de la pêche française. Il n'y aura alors plus besoin de compensation car ces pêcheurs n'existeront tout simplement plus. Je conçois que le travail soit difficile mais je pense que nous avons à réfléchir d'ici à mars, afin de trouver les meilleures solutions.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre-Henri Dumont :

...tation, devant la commission spéciale, la semaine dernière, a reconnu qu'il était incapable de nous dire précisément combien de vétérinaires seraient envoyés sur ces zones de contrôle, combien d'équivalents temps plein seraient nécessaires pour assurer l'ensemble des contrôles phytosanitaires. Cela illustre bien l'impression d'impréparation du Brexit que donne le Gouvernement, alors que le peuple britannique a voté pour la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne il y a deux ans. Avant que nous ne votions sur cet article, madame la ministre, au lieu de rigoler avec M. le rapporteur…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJacques Marilossian :

...'article 4 prévoit qu'un projet de loi de ratification doit être déposé dans un délai de six mois à compter de la publication des ordonnances. La commission spéciale est revenue sur un amendement voté au Sénat, qui avait inscrit un délai de trois mois. Ce délai paraissait bien trop court, compte tenu du contexte politique et législatif actuel, qui se caractérise par l'incertitude, surtout du côté britannique. Un délai de six mois semble en revanche raisonnable pour permettre au Gouvernement de prendre les mesures appropriées concernant les trois articles précédents. Notons enfin que notre rapporteur, comme il l'a indiqué il y a quelques minutes, présentera un amendement qui renforce le contrôle du Parlement, afin que celui-ci soit rapidement et parfaitement informé des mesures prises par le Gouverne...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMaxime Minot :

...u groupe Les Républicains souhaitent revenir à la rédaction proposée par nos collègues sénateurs afin de permettre aux parlementaires de s'exprimer plus rapidement au sujet de la ratification des ordonnances prises par le Gouvernement. Le débat doit en effet se poursuivre, d'autant qu'il sera nécessaire, au cours du processus, de s'assurer du respect du principe de réciprocité par nos partenaires britanniques.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAgnès Firmin Le Bodo :

...nces. L'absence d'accord n'est pas souhaitable mais nous devons envisager le pire. Ce projet de loi d'habilitation vise à apporter une réaction rapide que nous impose le contexte de négociations actuelles, dans l'intérêt de notre pays, de notre économie, de nos entreprises, des droits de nos ressortissants, de leurs intérêts ainsi que de la préservation du statut des fonctionnaires de nationalité britannique. Pour toutes ces raisons, nous devons donner au Gouvernement les moyens de cette préparation afin d'adapter notre pays aux conséquences du retrait britannique. C'est pourquoi le groupe UDI, Agir et indépendants votera pour ce texte, en demeurant vigilant quant à la mise en oeuvre des ordonnances qu'il prévoit et en vous demandant, pour la troisième fois aujourd'hui, madame la ministre, d'associe...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre-Henri Dumont :

Nous le répétons, ne pas profiter du Brexit pour entamer de nouvelles négociations sur le sujet avec les Britanniques constitue selon nous une faute politique majeure. Et, outre votre refus d'évoquer la question migratoire, vous n'inscrivez pas non plus noir sur blanc, dans ce texte sur le Brexit, d'autres sujets aussi majeurs que la question agricole ou celle de la pêche, qui nous tiennent tant à coeur. Compte tenu de cette absence de prise en considération de telles questions – ainsi que des amendements de ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Lecoq :

...jet est d'améliorer et d'enrichir le texte et non de le bloquer. C'est vous qui êtes totalement bloqués dès qu'une proposition provient des bancs de la droite ou de la gauche. Vous aviez dit « ni droite ni gauche » ; nous ne savions pas que votre slogan signifiait ni amendements de droite ni amendements de gauche ! La question des résidents français en Grande-Bretagne ? La question des résidents britanniques en France ? La question de la pêche et de l'aménagement des ports ? Elles sont toutes fondamentales.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDanièle Obono :

...ieux forcer la main du Parlement au nom de l'urgence. Nous avons également entendu vos louanges sur les négociations et la cohésion européenne face au Brexit, alors que c'est cette cohésion qui a créé la situation de crise qui prévaut en Grande-Bretagne. Vous vous félicitez donc, d'une certaine manière, que l'ensemble des commissaires européens aient voulu, avec cet accord, faire payer au peuple britannique son choix, dans la même logique qu'en 2005. Vous vous félicitez également que les intérêts de la finance prévalent sur les choix démocratiques des peuples. Nous voyons de ce fait très clairement le type d'Union européenne que vous défendez : jamais l'harmonisation sociale, économique ou environnementale par le haut, toujours le dumping social et fiscal.