Publié le 29 août 2019 par : M. Rolland, M. Pauget, M. Cattin, M. Cinieri, M. Sermier, Mme Corneloup, M. Dive, M. Leclerc, M. Bony, M. Vialay, M. Reda, M. Perrut, M. Cordier, M. Vatin.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Le but de cet amendement est que les Certificats Qualité de l’Air se basent sur des critères identiques à d’autres systèmes de sanctions infligées aux voitures trop polluantes. En effet, le système bonus/malus prend aujourd’hui en compte les émissions de C02 produites par le véhicule, ce qui n’est pas le cas des Certificats Qualité de l’Air. Par conséquent, les divergences actuelles risquent notamment de créer la confusion chez l’acheteur d’un véhicule quant au niveau de pollution qu’il produit.
Ces certificats se basent aujourd’hui sur la date d’immatriculation du véhicule ainsi que les normes Euro, lesquels critères ne prennent pas en compte les émissions de C02, pourtant cause majeure de pollution. Ainsi, le sens de cet amendement,, au-delà d’améliorer la lisibilité des dispositifs mis en place au détriment des véhicules les plus polluants, est de s’inscrire dans la continuité d’un des objectifs du projet de loi : la préservation de l’environnement.
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